Message d'entrée:Je trouve bien dommage de laisser en arrière un forum magnifique pour m'installer ici. J'ai l'impression de laisser Beyda'amo de côté, Tsu'ka et plusieurs autres, même s'ils ne sont plus où moins présent. Je ne veux pas prendre les reines de l'ancien forum aussi en lançant un appel à tous à venir sur celui-ci de peur de faire de la chicane avec Bey'. Les anciens admins perdent leurs droits. Moi même me retrouvant simple membre dévoué. Les quelques 7-8 membres présents dernièrement sur ce forum sont ceux qui veulent continuer. J'espère du fond du coeur que nous allons, tous ensemble, continuer de vivre l'aventure Pandora. Si je reste ici, ce sera le deuxième forum que je mets de côté. Toutefois, sachez très bien que mon personnage existe depuis le premier forum auquel j'ai participé et qu'il ne s'est qu'amélioré depuis. Son histoire est longue et bien écrite et elle n'est pas terminée. Il reste effectivement plusieurs chapitres en vus, si on peut appeler cela ainsi.
Je sais aussi par exemple qu'Evans, Calvin, etc étaient sur l'ancien forum avant moi alors qu'il allait beaucoup mieux. Avatar est sortie depuis 2009 déjà... et vous savez quoi? Nous sommes encore là, peu nombreux, mais encore là. Je suis persuadé que plusieurs autres personnes cherchent indirectement à rp sur un sujet aussi magnifique qu'est Avatar.
Lorsque j'ai regardé rapidement aujourd'hui les sujets, j'ai vu des rp, avec des réponses après moins d'une heure... Je ne me rappel pas de la dernière fois que j'ai vu cela. Je veux continuer de voir ça, demain, après-demain, dans trois jours, dans dix jours, dans deux mois dans un an, je veux voir les rp continuer, je veux participer, je veux entrer dans le monde.
Alors, je transporte ma fiche jusqu'ici pour une deuxième fois.
Prénom : Narri'Ekaie
Age humain : 37
Sexe: Homme Clan: Omaticaya Mentalité : Je suis quelqu'un qui a grandi avec la nature, les animaux, les plantes, en parfaite harmonie avec la vie. Dès ma jeunesse des signes montraient bien mon dévouement envers toutes les créatures qu'on puisse trouver sur Pandora. Un mot qui me décrirait bien serait: voyageur ou explorateur, bien que « expérimenteur » aussi pourrait être envisageable. Il subsiste en moi un inné pour la forêt, je ne dis pas que je n'aime pas mon clan, mais je préfère me perdre en forêt que rester au sein du clan à ne que dormir, manger et chasser. Peut-être que j'exagère un peu au fond... On a tous Besoin de revenir un jour chez soi et de vivre ce qu'il nous a manqué alors que nous étions loin. Je suis un chercheur naturel, j'explore, je trouve, j'expérimente, je découvre, j’apprends, je vie, je comprends...
Désormais, à 37 ans, il est forcément temps de revenir avant de ne plus l'être capable. Armé de ma chevelure, mon couteau et d'un livre fait de feuille et écrit d'une tige, je veux revenir et expliquer quelques-unes de mes découvertes. Il faut bien parfois des gens comme moi pour faire avancer un peuple. Après tout, tout ce qu'on connait, Na'vi, n'est-ce pas quelque chose qu'une personne qui nous a précédée ait découvert? Les plantes par exemple, il y en a de comestibles, d'autres de mortelles, d'autres pour guérir, d'autres pour éclairer, d'autres pour pister... Toutes ces plantes ont bien été observées par les anciens, et fort probablement que certains sont morts pour la cause de savoir. Je ne veux pas me tuer, mais j'ai risqué souvent d'y passer. La peur n'est plus de mon monde, c'est autre chose qui domine... Voir un Palulukan ne fait pas peur, mais on n’a pas confiance, ainsi ce qui me domine c'est de la méfiance. Je dois dire qu'un Palulukan c'est une très belle bête qui peut être très commode si on s'est s'en approcher...
Description physique : Je suis quelqu'un de très physique. Je ne porte pas mes 37 ans, on pourrait dire que j'en ai 10 de moins, et que mentalement j'en ai 20 de moins! Grand de la tête aux pieds, pas très large et assez bâtis, c'est ainsi que j'arpente les côtes de Pandora. Je ne compte plus le nombre de saut dans le vide que j'ai fait. Lorsqu'on arrive à une falaise, ce n'est pas le vide qui va m'enpècher de sauter, uniquement ce qu'il y a en bas. Si se sont des arbres, il est fort à parier que je suis déjà dans les airs, sinon je continu mon chemin en longeant la falaise. Lorsque j'ai quelque chose dans la tête, je le fais un point c'est tout. Toutefois, avec l'age, même si je ne veux pas vieillir, je constate quand même un différence avec autrefois, ce qui m'empêche de tout faire ce que je voudrais.
Pendant mon voyage en vu d'aventures et de découvertes, j'ai déjà voulu à comprendre ma propre bioluminescence. Comment ça se fait qu'on illumine? Et ça se control? C'est un matin dans mon hamac perché dans les arbres quand il faisait encore sombre que j'ai réussi simplement en me concentrant, à varier ma bioluminescence, mais depuis, je n'ai pas réessayé et donc j'ai perdu l'astuce.
Mes grandes mains de quatre doigts ont très servies... Elles sont plutôt rugueuses, mais peuvent aussi être douce, avec un peu d'effort... Tant qu'à mon corps en général, quelques égratignures ici et là qui resteront à vie, mais sans plus. On voit bien ses formes et sa carrure. Et pour mes pieds, vous n'avez aucune idée dans combien de textures ils ont passés...de gluantes à collantes en passant par coupantes et glissantes.
Histoire : (Pensée du futur) "Venez enfants, venez écouter les vieilles histoires de Narri' le vieux..."
Ça débute dès ma naissance, il y a 37 plus tôt qu'aujourd'hui. Ma mère et mon père s'aimaient beaucoup et m'ont eu comme unique fils. Ils m'ont élevé dans l'amour et les gens paisibles de l'Arbre-Maison. En compagnie de nombreux autres enfants, je jouais à tout et à rien avec un brin d'imagination. À chaque fois que je voyais un Chasseur revenir de sur son Equidius, je l'observais et lui souriais. J'adorais ces chevaux géants, ils me fascinaient. Un soir je rentre de jouer du cercle protecteur (la région protégée par des chasseurs embusqués) autour de l'Arbre. Rendu dans mon lit suspendu, près de mes parents, je demande à ma mère quand je pourrais monter un Equidius. Ma mère répondait alors quand je serai plus grand.
Quelques années plus tard, à l'âge de 8 ans, je décide que je voulais monter un Equidius... Ma mère ne voulait pas, mais mon père l'a convaincu de me laisser aller. Je montais alors pour la première fois sur un de ces chevaux à six jambes. Lorsque j'ai fais tsaheylu, on est tous resté calme, peut-être par crainte, peut-être par peur, mais rien ne c'était passé de plus que la connexion. J'ai donc appris à monter l'Equidius très rapidement... Pendant deux ans, je volais avec un animal qui ne vole pas! Je sautais de haut et je m'accrochais du mieux que je pouvais, celui-ci étant un peu surdimensionné par rapport à ma taille du passé. Je devenais tranquillement un as au maniement des Equidius, mais je voulais plus.
J’ai donc quêté ma mère et mon père jours après jours pour pouvoir avoir mon Ikran. Ceux-ci savaient ce qui m’attendait s’ils me laissaient ; possiblement la mort. Je voulais un Ikran plus que tout autre chose... C'est donc quelques mois après des milliers de larme au pied de mes parents que finalement, le jeu c'est inverser, je me suis mit à sourire et eux pleurer. Ils avaient peur pour moi. Au fond, j'avais aussi peur, mais cette volonté.... ce dévouement, me conduisais l'esprit plus que la peur. Le combat fut bref. Il ne dura que quelques minutes. Mais ces minutes, lorsqu'on en face de l'Ikran, passent tellement lentement... J'ai failli y laisser corps et âme. Par chance ou par destin, j'avais réussi à faire le lien.
Le soir venu, j'étais toujours dans les airs à naviguer parmi les branches solides de l'Arbre-Maison. Quand je suis rentré me coucher, mes parents dormaient déjà. Je me suis placé somptueusement dans mon cher hamac qui berçait moi et mes nuits depuis 10 ans et j'ai tenté de fermer l'œil, mais en vain. Le temps passait, je tournais, je tournais, ma pensée était occupée. Je m'étais donc assis et j'ai réfléchis. Une volonté envahissait ce que je pensais, mais je ne voulais pas complètement l'écouter. Une partie de moi voulait partir, maintenant équipé d'un moyen de transport rapide, et l'autre ne voulait pas quitter les parents, les gens, l’abri de mon enfance... J'étais donc descendu au sol, j'ai pris une feuille cueillie par d'autres membres du clan et une tige dont on se servait de la sève pour écrire. J'ai écris dessus: « Je vous aime, je reviendrai. » (En Na'vi) Ensuite j'ai déposée cette feuille sur ma mère et je suis parti.
Cette nuit était la plus douloureuse... Je volais sur mon Ikran en direction de nulle part faisant dos à l'Arbre, les yeux plein d'eau. Je suis resté réveiller plusieurs jours par la suite. J'avais des maux de ventre, j'avais peur, peur de m'être trompé, peur de mourir seul en forêt, peur de ne plus revoir mes parents... le nombre de peur était incalculable. Après quelques jours, le sommeil me dominait. J'ai dormis au moins une journée entière sur le sol dur de la terre et des racines d'arbres non-loin. Dans mon sommeil, j'entendais leurs voix, de mes parents... J'entendais aussi dans un état de semi-conscience des cris et des rugissements autour de moi. Ce n'est qu'à mon réveil que je constate quelque chose qui changea le fonctionnement de mon futur voyage. Alors que je dormais, mon Ikran avait comprit quelque chose, quoi, je n’en sais rien. Mais il m'avait défendu pendant la nuit, éloignant toutes sortes de bêtes des environs. Il en restait même une au sol, agonisant que mon Ikran avait probablement attaquée. Je m'étais donc réveillé, et j'ai été à côté de la bête. J'ai terminé ses souffrances comme bon Na'vi ferait... comme j'avais appris en regardant les Chasseurs...
Dès le lendemain, je reprenais mes émotions et mes esprits en main. Je suis monté sur mon Ikran et j'ai volé aussi loin que je pouvais et que mon Ikran pouvait. À partir de ce moment, moi et mon Ikran se protégions mutuellement. Lorsque je dormais, il me protégeait, et quand lui se reposait, je devais faire face au danger. Les premières semaient ont passées ainsi, au ras le sol pour les nuits et au-delà de la cime des arbres le jour, allant toujours plus loin, sous le soleil brûlant.
À mes 11 ans, je m'étais fait une promesse à moi-même, celle de revenir, dans les deux sens possible. Tant revenir à l'Arbre-Maison, qu'un jour revenir en ces terres inhabitées. Et c'est aussi une des rares journées que je suis resté au sol, que je n'ai pas volé ailleurs. En fait, cette journée, j'ai pris des lianes, des feuilles, tout ce qu'on pourrait avoir de besoin pour tisser. Or je ne savais pas tisser... Je m'étais donc fait un hamac inconfortable d'un amalgame de nœuds ici et là. J'ai aussi trouvé moyen de l'accrocher à mon Ikran... ce qui à l'époque devait forcément pas être plus confortable pour lui que pour moi. J'ai passé des nuits dans ce hamac... d'innombrables. Plus tard durant mon voyage, j’essayais de tisser de mieux en mieux et puis ensuite, je m’étais fait un nouveau hamac, beaucoup plus confortable et aérodynamique pour mon Ikran…
Les années passaient, lentement, mais elles passaient. J'apprenais de plus en plus de chose, dont survive seul. Une fois que mon Ikran volait pour se dégourdir et moi je me promenais pour aller cueillir quelques fruits, j'avais fait face à un Palulukan... Ce monstre de Pandora, qu'aucun Na'vi ne veut faire face sans être armé. Eh bien c'était mon cas, ma seule arme était le couteau qu'on reçoit jeune et qu'on garde pour presque toute la vie. Je tremblais devant. C’était la première fois que j’en voyais un de si proche... Je devais avoir une 15enne d'années. Je pensais rapidement dans ma tête... Je pensais que le couteau ne me serait pas utile face à sa carapace et qu'il faudrait donc un autre moyen. Ma seul autre possibilité était de faire tsaheylu avec pour tenter de lui faire peur ou quoi que se soit. C'est ainsi qu'en échappant de peu à des coups de griffes aiguisées et une mâchoire de fer, que j'avais réussi à faire tsaheylu, mais j'avais tout de suite perdu le control et j'étais tombé. J'avais donc réessayé une autre fois, le même phénomène s'était produit. J'avais de nouveau essayé de faire et garder tsaheylu, mais en me connectant à son esprit, j'ai eu l'esprit trouble et probablement que lui aussi. Je ne comprenais plus rien. Et alors il est parti en trombe sans se soucier que j'étais dessus lui... je suis donc tombé. J'avais mal partout et mon Ikran arrivait.
Je m'étais relevé, un peu confus de ce qui venait de se produire. « Qu'est-ce qui l'a fait fuir? » me disais-je. Ce n'est qu'une année plus tard que je compris à cause d'une occasion similaire. Le fait d'avoir fait tsaheylu plusieurs fois de suite crée un semblant de choc qui occasion un mélange de l'esprit. En se connectant plusieurs fois, j'avais rendu le Thanator inapte à comprendre et réagir, il était donc parti "se changer les idées". Et du coup je pouvais partir avant qu'il ne revient.
Le temps passait, les années aussi. Un matin, c'était différent. À l'âge de 17 ans, il y a 20 ans déjà... Mon Ikran m'avait réveillé en train de gémir. Je me demandais ce qu'il avait... C'était un mal intérieur, pas physique et en me connectant à lui j'ai "mieux" compris. Quelque chose l'attirait fortement vers un point précis sur Pandora. Cette journée avait été difficile. On sentait qu'une horreur inhabituelle se passait, mais si loin, on ne pouvait rien faire vraiment... Une ou deux journées plus tard, le calme était revenu. C'était trop calme. Tous les animaux marchaient d'un pas indéterminé, un peu sous un choc nerveux... Même mon Ikran semblait entre deux états d'esprit...
Pendant les 20 années qui ont suivies, je cherchais mon chemin pour revenir. Mon voyage autour de Pandora s'éternisait... En rencontrant un clan Na'vi ailleurs, je ne sais plus exactement où, j'avais vu des enfants jouer ensemble et des images me revenaient en tête... À partir de là, mon but était de revenir. Jeune, je n'avais pas pris conscience du chemin que je parcourais. Ainsi, plus vieux, je ne me souvenais que très vaguement par où j'avais passé. Seul l'Arbre-maison volait dans mon esprit très clairement. Même mes parents étaient devenus qu'une silhouette dans ma tête. Le jour où j'ai vu, de très loin, les feuilles de l'Arbre de mon enfance, j'avais de la peine... Jusqu'à l'arrivé, au pied du tronc géant d'écorces inégales. La première chose que j'ai fait, c'était rentrer dans l'Arbre avec mon Ikran, chose qu'on ne devait pas faire pour éviter de blesser quiconque. J'ai débarqué de mon Ikran à l'intérieur. La seul chose que je me souviens pendant les minutes qui s'en suivit c'était mon nom que ma mère et mon père avaient dit en me voyant. Le restant, tout était flou de larmes.
J'avais avec moi, un livre que j'avais conçu dans lequel j'avais écris plusieurs découvertes. Ce livre je l'ai toujours, de caché. Je ne veux pas que le monde le lise d'un coup... Sur ce, mes jours en ces lieux sont peu nombreux comparé au nombre que j'ai passé en forêt, en respect avec la forêt. Je suis ici pour rester et récupérer ce qui me manque tel l'amour du clan et de mes parents. Les peurs je n'en ai plus ou très peu... J'ai appris à être agile et efficace. Je connais de nombreux tour qui peuvent être expliqué tranquillement... La complicité que j'ai eue avec mon Ikran m'a permis de faire bien des expériences. Les Na'vi par exemple, volent sur des Ikran en les contrôlant d'eux même. Moi et mon Ikran, lorsque le temps concorde et que chacun accepte, l'alliance des deux pensées est si forte que je lui dis où aller et puis il utilise tant mes énergies que ses énergies à un maximum qui est un surdépassement de soi. Les ailes battent si vite, que je ne pourrais les faire battre ainsi de mon unique volonté.
Chose certaine, je suis heureux d'être de retour... sauf pour une chose qui m'a été apprise il n'y a que quelques jours, des humains qui veulent exterminer la race des Na'vi pour leurs ressources et qu'une guerre aurait déjà fait surface (et du coup je l'associe à la sensation étrange que mon Ikran avait eue)... J'ai eu quelques contactes durant mon voyage avec des humains... ils peuvent comprendre si on leur parle bien... mais je ne savais pas leurs intentions. Je défendrai les terres de mon enfance comme je l'aurais fait si j'étais resté. Désormais, je veux faire apprendre qu'il n'est pas impossible de rien. Tout est faisable! Il suffit d'y croire...
Pour une présentation de l'histoire plus détaillée, je vous invite à lire mon rp [Solo] Mon voyage que l'on peut retrouver ici:
https://rpgavatar.keuf.net/t47-histoire-narri-ekaie-mon-voyageComment avez vous connu le forum : Suite à l'ancien forum
Quel est votre prénom : Benoit
Sur 7 jours, combien de jours allez vous vous connecter : Variable.
S'il manque quoi que se soit pour la présentation ne vous gênez pas de le demander
Il n'y a pas encore de modèle alors... Et il n'y a pas non plus la section Arbre des âmes dans laquelle normalement j'aurais mit mon histoire... mais bon, ce n'est pas grave
Bonne journée à tous =D